La Gaîté Lyrique : un nouveau lieu pour Tranoï Hommes juin 2023

Tranoï Hommes, qui se déroulera du jeudi 22 au dimanche 25 juin 2023, se tiendra à la Gaîté Lyrique. Cette institution culturelle parisienne, hub créatif et résidence pour artistes, positionne Tranoi Hommes en tant que « place to be, place to see » de la mode émergente internationale.

Finalement, Tranoï Hommes est le seul salon professionnel français à se concentrer sur la mode masculine. Le choix d’exposer à la Gaîté Lyrique, située au cœur de Paris (3bis Rue Papin, métro Réaumur - Sébastopol), assied le concept de faire valoir des talents d'où émergent des propositions nouvelles. Pour ce faire, les organisateurs s’appuient sur des partenariats avec des structures étrangères, à même de les aider à faire venir ceux qui comptent dans leurs pays.

C’est le cas de la Corée du Sud, pays à la pointe de la mode en ce moment, avec lequel Boris Provost, directeur général du Tranoï, a acté trois partenariats : la mairie de Séoul (Seoul Metropolitan Government), propriétaire de la Fashion Week Seoul, sera présente avec six designers dont trois défileront (Ul : Kin, Beyond Closet, Sling Stone), le jour de l’ouverture, le jeudi 22 juin 2023 ; l’association de créateurs (Gyeonggi Fashion Creative Studio) viendra avec quatre créateurs ; et le groupe Kolon, qui s’inscrit dans une vague outwear issu du sport, avec deux stylistes dont Weather Monster (en photo) dont les tenues s’inspirent des vêtements de travail des pêcheurs.

L'accord signé avec China Fashion Association apporte quatre marques inédites dont Valleyouth. Côté nouveautés, saluons également l’arrivée de stylistes allemands avec Berlin Showroom (la partie berlinoise de Dach showroom) et de deux Chiliens, via Pro Chile.

Mais là où Tranoi réussit son pari c’est dans le fait que les exposants reviennent. C’est le cas des Portugais conduits par Portugal Fashion : Huarte, Estelita Mendonça et David Catalán. Ou encore des marques Patchouli, Gunther, Llosa, David Tlale ou Isnurh, duo sur lequel nous avions fait un focus lors de la précédente édition. « La fidélisation n’est pas une mince affaire quand on parle d’emerging talents » conclut Boris Provost.