FFPAPF : Talents recrute sa sixième promotion

Work in progress. L’appel à candidatures de la sixième promotion de Talents est ouvert. Avis, donc, aux jeunes marques et stylistes qui répondent aux critères d’éligibilité (chiffre d’affaires minimum de 50 000 euros, marque créative à fort potentiel mais avec des ressources humaines limitées) et qui ont jusqu’au 6 juin pour candidater.

Ce programme d’accélération créée par la FFPAPF (Fédération française du prêt-à-porter féminin) avec le soutien du Défi accompagne chaque année cinq marques de mode françaises. Maison Château Rouge, Patine, Loom, Avnier, pour n’en citer que quelques-unes sont passées par Talents, qui a déjà accompagné, depuis 2018, 25 jeunes griffes.

Cette session d’accélération, pilotée par Priscilla Jokhoo, directrice du service Entreprises de la Fédération, repose sur cinq axes d’accompagnement : le coaching business en est le pilier central, assuré par un duo de professionnels du management de mode (un directeur général et un directeur financier). Il s’appuie lui – même sur un réseau de coachs « Expert » pour travailler les chantiers jugés prioritaires à la croissance et la structuration de la marque.

En parallèle des formats collectifs sont prévus, sous forme de masterclass et de « communautés » des anciens du programme, qui permettent à la promotion d’échanger et de traiter de problématiques communes aux jeunes marques. Le programme Talents a de plus noué depuis ses débuts un partenariat avec IFM Accélérateur, qui offre un prolongement dans l’accompagnement et valorise ainsi l’écosystème de créateurs construit par la FFPAPF.

« Chaque année, c’est une nouvelle histoire (…), une nouvelle famille qui se constitue, une énergie collective à fédérer et à canaliser. Ces cinq nouvelles marques viendront élargir la communauté Talents, déjà composée de plus de 130 personnes, experts, membres du board, marques etc. Talents c’est une famille mais c’est aussi un programme où les entrepreneurs s’épanouissent individuellement, où l’on sublime l’individualité au service du collectif », souligne Priscilla Jokhoo.