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Fashion week: les femmes fatales de Casablanca sur la piste du Cirque d'Hiver à Paris

Par AFP

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Charaf Tajer fondateur de Casablanca SS23. Credits: ©Spotlight/Launchmetrics

Paris - Le créateur franco-marocain Charaf Tajer, promoteur de la mode de rue sur les podiums, a présenté mercredi un défilé-spectacle au Cirque d'Hiver à Paris, inspiré par l'Antiquité mais sous forme de chorégraphie rythmée par la voix de Björk et des sons disco.

"Venus as a Boy", nom du défilé et aussi le tube de la star islandaise des années 90, une époque qui inspire Charaf Tajer, sans pour autant susciter la nostalgie.

"Vénus comme un garçon" est le surnom que mes amis me donnaient, c'est l'histoire d'un homme qui regarde la vie à travers la beauté", explique à l'AFP le jeune créateur, dont la rumeur disait il y a trois ans qu'il pourrait être directeur de collection chez Kenzo.

Le label créé en 2018, a intégré le calendrier officiel de la Fashion Week en septembre et est considéré comme faisant partie de la nouvelle garde parisienne.

Pour son deuxième défilé, le créateur a pensé une collection pour femmes fatales en imprimés, avec des fleurs et des références à l'antiquité, de la poterie aux colonnades grecques.

Installés sur les fauteuils rouges de la salle Bouglione, avec actrices françaises et footballeurs internationaux au premier rang, étaient venus pour le "show" promis par Casablanca.

Des tenues du soir, de la robe de cocktail moulantes rouge sang, des vestes de dîner pour hommes et femmes et des chemisiers semi-transparents strassés.

Parmi les tenues qui ont brillé pendant le show, une mini-robe noire de jais avec une délicate frange de perles incrustée au niveau du buste.

Casablanca est né en 2018 de la double obsession de Charaf Tajer, d'une part pour l'architecture, qu'il a étudiée, et de l'autre de sa soif de vie nocturne, après des années à la tête d'une discothèque parisienne (le Pompon).

Pour nous, chaque collection est une garde-robe entière. L'idée est que du pyjama au smoking, tout est représenté", explique le créateur, qui introduit aussi beaucoup d'éléments sportswear, notamment sa ligne de baskets.

"Pour nous, c'est important l'idée de mettre le sport au-dessus et rajouter du luxe dans le sport, c'est quelque chose qui nous parle beaucoup", dit-il.Paris, 29 fév 2024 (AFP) - Le créateur franco-marocain Charaf Tajer, promoteur de la mode de rue sur les podiums, a présenté mercredi un défilé-spectacle au Cirque d'Hiver à Paris, inspiré par l'Antiquité mais sous forme de chorégraphie rythmée par la voix de Björk et des sons disco.

"Venus as a Boy", nom du défilé et aussi le tube de la star islandaise des années 90, une époque qui inspire Charaf Tajer, sans pour autant susciter la nostalgie.

"Vénus comme un garçon" est le surnom que mes amis me donnaient, c'est l'histoire d'un homme qui regarde la vie à travers la beauté", explique à l'AFP le jeune créateur, dont la rumeur disait il y a trois ans qu'il pourrait être directeur de collection chez Kenzo.

Le label créé en 2018, a intégré le calendrier officiel de la Fashion Week en septembre et est considéré comme faisant partie de la nouvelle garde parisienne.

Pour son deuxième défilé, le créateur a pensé une collection pour femmes fatales en imprimés, avec des fleurs et des références à l'antiquité, de la poterie aux colonnades grecques.

Installés sur les fauteuils rouges de la salle Bouglione, avec actrices françaises et footballeurs internationaux au premier rang, étaient venus pour le "show" promis par Casablanca.

Des tenues du soir, de la robe de cocktail moulantes rouge sang, des vestes de dîner pour hommes et femmes et des chemisiers semi-transparents strassés.

Parmi les tenues qui ont brillé pendant le show, une mini-robe noire de jais avec une délicate frange de perles incrustée au niveau du buste.

Casablanca est né en 2018 de la double obsession de Charaf Tajer, d'une part pour l'architecture, qu'il a étudiée, et de l'autre de sa soif de vie nocturne, après des années à la tête d'une discothèque parisienne (le Pompon).

Pour nous, chaque collection est une garde-robe entière. L'idée est que du pyjama au smoking, tout est représenté", explique le créateur, qui introduit aussi beaucoup d'éléments sportswear, notamment sa ligne de baskets.

"Pour nous, c'est important l'idée de mettre le sport au-dessus et rajouter du luxe dans le sport, c'est quelque chose qui nous parle beaucoup", dit-il.(AFP)

Charaf Tajer
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